Jennifer Connelly et Katherine Hepburn
Des deux derniers films que j'ai vu, outre le physique de rêve de Benjamin Beau-gosse Button, je me souviens surtout de la beauté de Cate Blanchett et la maigreur d Jennifer Connelly.
He's not that into you n'est pas un chef d'oeuvre. Il y a des bluettes sentimentales que retiens et que j'aime voir et revoir. Celle là n'en fera sans doute jamais partie. Ce n'est pas pour autant l'horreur à laquelle je m'attendais. Et ce n'est rien à côté de La Rumeur court. J'ai même trouvé Jeniifer Aniston plutôt bonne dans ce film. J'attends juste qu'elle joue dans un vrai bon film. Oui je sais, pour certains The Good Girl est "un vrai bon film" ou au moins "un bon film". Mais c'est surtout le film où elle avait décrété s'être moins lavé les cheveux pour avoir l'air d'être le personnage. Ah oui, fille perdue, cheveux gras...
Jen n'a que 40 ans, peut être que la prochaine fois... Enfin non, la prochaine prochaine fois, parce que la prochaine fois c'est Marley et moi. Je pense que Kate Husdon devait être overbookée.
J'ai franchement trouvé Ginnifer Goodwin sympathique, mignonne et assez "pétillante". J'aurai adoré voir Drew plus longtemps parce que j'adore Drew. D'habitude j'aime bien Scarlett, mais là absolument pas. J'aimerai qu'elle redevienne la fille simple de Lost in Translation je crois, où celle de In Good Company. Et puis sa coiffure, ça n'allait pas du tout. Le long frisé plaqué sur la tête, c'est niet Scarlett. Même avec un tel corps de bombasse!
Le plus gros hic du film, c'est Jennifer Connelly. Son oscar pour Un homme d'exception a du lui couper l'appétit et depuis elle ne boit plus que de l'eau vitaminée... Je ne vois pas d'autres solutions. Elle n'a que la peau sur les os, et dans une scène déplorable où les scénaristes ont tenté de faire d'elle une Monica Geller, elle ne remplit même pas son jean size 0.
Ce qui manque le plus au film, c'est de l'humour. Or pour une comédie, l'humour, c'est important. Là où Courtney Cox savait être drôle en jouant Monica la maniaque du rangement, Jennifer Connelly est... absolument pitoyable. Elle n'a qu'une expression sur son visage sans rides. L'expression qu'ont les actrices qui ont compris qu'en fait, non, elles n'avaient pas eu une idée de génie en acceptant ce film.
Bref ça ressemble à une comédie romantique, ça a le goût d'une comédie romantique et au final, ça en est une. Très classique. Je pense que c'est de là que viennent les critiques et la déception. Avec les script doctors de Sex and the city, on visait haut. Mais on est dans un film américain, et bon, le films américains ne sont plus subversifs depuis longtemps. Alors on était un tout petit peu prévenus...
Heureusement le cinéma ne tourne pas qu'autour de la seule molécule de gras de Jennifer Connelly. Puisqu'il y a aussi des actrices qui ont des expressions comme Cate Blanchett. Je ne la trouve pas d'une beauté transcendantale au naturel, mais devant une caméra, elle iradie. for real.
Hier soir, je suis donc allée voir Benjamin Button. A cause d'un certain Igrecbé, j'avais peur de longueurs et d'ennui, mais alors non, pas du tout. Et Cate dans les années 50/60, avec ses petits pantalons fuseaux et ses long cheveux roux était parfaite de perfection. Bon je ne suis pas du tout objective, j'adore le style des vêtements portés dans les années 60. Alors forcément, j'étais en pleine adoration.
Et puis soudain, au tournant des années 90, alors que Benjamin devient sénile et a du oublié sa vieillesse de baroudeur en Inde, son infirmière prend les traits de Katherine Hepburn dans African Queen. Bluffant...
Peut être que Katherine Hepburn n'a jamais été aussi belle que dans l'adorable Mr. Bébé, mais Cate Blanchett n'a jamais été plus belle qu'à presque 60 ans en 1980, en professeur de danse classique, quand elle remet son body devant l'homme qu'elle a aimé toute sa vie.
Si vous avez 2H35 à gagner, je ne peux que vous inviter à aller voir ce film. Peut-être que les aiguilles de votre montre tourneront dans le sens inverse, comme l'horloge de Monsieur Gateau.
He's not that into you n'est pas un chef d'oeuvre. Il y a des bluettes sentimentales que retiens et que j'aime voir et revoir. Celle là n'en fera sans doute jamais partie. Ce n'est pas pour autant l'horreur à laquelle je m'attendais. Et ce n'est rien à côté de La Rumeur court. J'ai même trouvé Jeniifer Aniston plutôt bonne dans ce film. J'attends juste qu'elle joue dans un vrai bon film. Oui je sais, pour certains The Good Girl est "un vrai bon film" ou au moins "un bon film". Mais c'est surtout le film où elle avait décrété s'être moins lavé les cheveux pour avoir l'air d'être le personnage. Ah oui, fille perdue, cheveux gras...
Jen n'a que 40 ans, peut être que la prochaine fois... Enfin non, la prochaine prochaine fois, parce que la prochaine fois c'est Marley et moi. Je pense que Kate Husdon devait être overbookée.
J'ai franchement trouvé Ginnifer Goodwin sympathique, mignonne et assez "pétillante". J'aurai adoré voir Drew plus longtemps parce que j'adore Drew. D'habitude j'aime bien Scarlett, mais là absolument pas. J'aimerai qu'elle redevienne la fille simple de Lost in Translation je crois, où celle de In Good Company. Et puis sa coiffure, ça n'allait pas du tout. Le long frisé plaqué sur la tête, c'est niet Scarlett. Même avec un tel corps de bombasse!
Le plus gros hic du film, c'est Jennifer Connelly. Son oscar pour Un homme d'exception a du lui couper l'appétit et depuis elle ne boit plus que de l'eau vitaminée... Je ne vois pas d'autres solutions. Elle n'a que la peau sur les os, et dans une scène déplorable où les scénaristes ont tenté de faire d'elle une Monica Geller, elle ne remplit même pas son jean size 0.
Ce qui manque le plus au film, c'est de l'humour. Or pour une comédie, l'humour, c'est important. Là où Courtney Cox savait être drôle en jouant Monica la maniaque du rangement, Jennifer Connelly est... absolument pitoyable. Elle n'a qu'une expression sur son visage sans rides. L'expression qu'ont les actrices qui ont compris qu'en fait, non, elles n'avaient pas eu une idée de génie en acceptant ce film.
Bref ça ressemble à une comédie romantique, ça a le goût d'une comédie romantique et au final, ça en est une. Très classique. Je pense que c'est de là que viennent les critiques et la déception. Avec les script doctors de Sex and the city, on visait haut. Mais on est dans un film américain, et bon, le films américains ne sont plus subversifs depuis longtemps. Alors on était un tout petit peu prévenus...
Heureusement le cinéma ne tourne pas qu'autour de la seule molécule de gras de Jennifer Connelly. Puisqu'il y a aussi des actrices qui ont des expressions comme Cate Blanchett. Je ne la trouve pas d'une beauté transcendantale au naturel, mais devant une caméra, elle iradie. for real.
Hier soir, je suis donc allée voir Benjamin Button. A cause d'un certain Igrecbé, j'avais peur de longueurs et d'ennui, mais alors non, pas du tout. Et Cate dans les années 50/60, avec ses petits pantalons fuseaux et ses long cheveux roux était parfaite de perfection. Bon je ne suis pas du tout objective, j'adore le style des vêtements portés dans les années 60. Alors forcément, j'étais en pleine adoration.
Et puis soudain, au tournant des années 90, alors que Benjamin devient sénile et a du oublié sa vieillesse de baroudeur en Inde, son infirmière prend les traits de Katherine Hepburn dans African Queen. Bluffant...
Peut être que Katherine Hepburn n'a jamais été aussi belle que dans l'adorable Mr. Bébé, mais Cate Blanchett n'a jamais été plus belle qu'à presque 60 ans en 1980, en professeur de danse classique, quand elle remet son body devant l'homme qu'elle a aimé toute sa vie.
Si vous avez 2H35 à gagner, je ne peux que vous inviter à aller voir ce film. Peut-être que les aiguilles de votre montre tourneront dans le sens inverse, comme l'horloge de Monsieur Gateau.